Le Dioncébon
Trouvé en 2050 dans les environs des septièmes continents, ce spécimen a été remarquablement conservé. Descendant du poisson, appelé communément, « poisson porc épic », dont le nom scientifique était le Diontidé*, celui-ci porte le nom de Dioncébon, en mémoire de son ancêtre maintenant disparu, et de son grand besoin d’ingérer des quantités énormes de matières plastiques.
Ce qui explique sa métamorphose exceptionnelle. D’autres spécimens ont été aperçu, toujours autour des septièmes continents où ils trouvent leur nourriture à volonté.
Il est difficile de les capturer, en raison de l’état de la mer… et de ses épines qui percent les filets.
(Extrait du texte « A la recherche d’un monde perdu et de son évolution » de Mamoune Baltazars, scientifique océanique mondialement reconnu. L’an 2100).